Vous qui n’entendez plus les appels insistants
Des passés disloqués, des temps sans remontoirs
Vos rêves dissolus dans la brume et le vent
Délivrent à l’écho d’insondables histoires

Votre cœur est un puits où la source s’abreuve
Et recherche en silence un ailleurs sans chimères
Vous êtes le chemin qui déroute l’épreuve
Et le vide insolent dont s’emplit l’atmosphère

Et vos yeux, vos grands yeux, disent l’immensité

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