Noir : solitude
Blanc : silences
Gris : souvenirs
Le poète a pleuré des larmes incolores
Balbutié des chansons empreintes d’amnésie
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Le rêve de Sinbad
Je voudrais vous donner un rêve inachevé Choyez-le, bercez-le, qu’il soit fluorescent Quand je viendrai plus tard heurter mes insomnies Sur les appels fuyants d’une mer indomptée
Une boule de stress
Sur tes joues naissent Des ruisseaux en détresse Quand tu fermes les yeux Sous ta robe bleue Que le vent meut Une boule de stress Sur tes lèvres belles Des mots qui s’amoncellent "Je meurs folle jeunesse"
Sur la pierre couchée
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Vous, petites comètes, profitez du Présent Sans jamais renoncer à vos rêves d’enfants La vie est tout un monde qu’il vous faut inventer Pour que demain la vie s’offre un nouveau destin Sachez que vous filez au cur de l’univers Fières mais éphémères soulignant le mystère Du souffle qui inspire les débuts et les fins…
Et quand ton souffle brasse l’immensité qui dort
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Elle dit
Elle dit que toute l’année son cur est en automne Elle dit que chaque espoir est une déchirure Elle dit que l’avenir ravive les blessures Elle dit que le présent est un temps monotone Il y a eu tant d’amour, il y aura tant de haine Qui naîtra des instants qu’elle voulait absolus Les amants…
Un commentaire
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… silence n’est pas absence