On m’a dit que l’absence
Bien plus que le silence
Sème l’oubli et la désespérance
Comme l’ombre s’étend et agrandit le vide
Une terre délaissée chante encore en moi
Rhapsodie de l’exil des rêves apatrides
Ile de mes ailleurs et de mes autrefois
Tu as bercé l’enfant ivre d’aventures
Et serti l’horizon de souvenirs-blessures
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Lit de toutes les espérances
Usant de ses fourbes illusions
Magnifiant l’impossible contemplation
Il ne m’a apporté que souffrance
Et pourtant l’étincelle jamais ne meurt
Rire et vivre encore sans cesse dans la peur
Et comprendre que tout n’est que leurre
Exercice difficile…