Tes yeux sont les miroirs de mon imaginaire
On y voit des prés verts et on y voit la mer
Il y a aussi le ciel, le soleil et même l’univers
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Sur les traces d’Icare
J’ai voulu m’évader et cueillir le soleil Atteindre les sommets des monts et merveilles Mes ailes m’ont lâché, fendant le paroxysme Me laissant retomber dans mes boueuses grolles J’ai erré des années, exilé, condamné J’ai fait tant de détours pour pouvoir retrouver La ligne d’horizon de mes livides amours Echoué sur le radeau des sottes…
De rêves et de vides
Es-tu fait de rêves ou simplement de vides Pour parcourir le monde enfant de liberté En quête des visions, les seules vérités Qui ravivent l’envie lorsque la vie s’évide Toi qui fuis les tourments des nymphes d’Hespérides Des cruelles naïades et leur fourbe beauté Toi qui ris des furies et des divinités Tu t’éprends certains…
Il y a eu
Il y a eu ces promesses, espaces chaotiques Que mes mains ont bercé si désespérément Il y a eu ces baisers distants et rachitiques Que nos lèvres emmêlées donnaient nonchalamment Il y a eu ces grands soirs où nous trompions nos sens Quand nous faisions mourir nos moindres insuffisances Quand nos corps en sueur s’arrêtaient…
À chaque seconde l’éternité vacille
Tu es le vent léger assoiffé de voyages Tu es de mille ciels, de tous les paysages Je suis l’aube immobile, aride et solitaire Je suis l’île lointaine où s’exile l’éther Et quand nos cœurs en vrac immolent leurs guenilles À chaque seconde, l’éternité vacille
Les jours sans
Sans brûler les étapes en osant t’approcher Je voudrais être là Sans vouloir te parler avec des mots déjà Je voudrais regarder Sans vouloir te brusquer tes yeux ensorcelants Je voudrais simplement Sans vouloir les vexer y voir le firmament Je voudrais bien alors Sans vouloir te toucher t’effleurer de mon corps Je voudrais bien…
Quand nos âmes se lient…
Comme un bouton de rose inspire un crépuscule Nous rêvons tous un jour de l’amour majuscule Pur et vrai comme un ciel où seules les étoiles Éclosent une à une et nous offrent pour toile Ces ailleurs en pixels dessinant les décans D’un précaire infini où s’ébauchent nos vies Quand nos âmes se lient, amplifient…