Que sais-tu de la vie toi qui n’as jamais vécu
Que sais-tu de l’amour toi qui n’as jamais aimé
Qu’y a-t-il ici-bas que nous n’ayons point vu
Qu’y a-t-il au-delà pour oser s’imaginer
Que la course du vent élève nos espérances
Et donne à nos silences les couleurs des saisons
A lire également
La substance des choses…
C’est ici que je vis loin de tout en Parsi Sur mon île donjon l’exil est un enclos Où l’ocre de la terre aimante l’autarcie Ma joie est ce silence où passent des échos C’est ici que j’aspire au renouveau du monde Dans mon état latent j’exorcise le doute Hologramme d’hier sur le chemin de…
Le temps qui passe
Je n’ai rien oublié pas même un souvenir Les heures sont si lasses mais insensiblement Tournent les aiguilles d’une montre en argent Que le Temps semble long, j’ai sûrement dû vieillir
L’empreinte du vent sur les terres brûlées…
La lourdeur des jours ronge comme une tumeur Les morsures des songes infligent la douleur La complainte s’élève des falaises de craies Et le chant des adieux laissent s’ouvrir les plaies L’angoisse glace l’air malgré le clair de lune Du nord vient la rumeur qui court sur les dunes La nuit ne laissera, avaient prédit…
Et quand ton souffle brasse l’immensité qui dort
Et quand ton souffle brasse l’immensité qui dort Dis-moi si tu ressens dans l’abandon du corps Les vibrations sublimes qui portent l’univers Même si la vie te brise et jette en pâture Tes lambeaux de bonheur que les jours défigurent Il y a en toutes choses du pur et de l’impur Ne faut-il pas parfois…
Il y a eu
Il y a eu ces promesses, espaces chaotiques Que mes mains ont bercé si désespérément Il y a eu ces baisers distants et rachitiques Que nos lèvres emmêlées donnaient nonchalamment Il y a eu ces grands soirs où nous trompions nos sens Quand nous faisions mourir nos moindres insuffisances Quand nos corps en sueur s’arrêtaient…
Je vois l’aube en ton âme…
Je lis entre tes lignes Les maux que tu déposes Et tout porte la guigne Quand le sombre s’impose J’entends les grands silences Où tes rires se voilent Tu vis de rêves rances Quand tes peurs se dévoilent Je vois l’aube en ton âme Et je meurs en tes yeux Toi qui sais tous les…
2 Commentaires
Les commentaires sont fermés.
Ca nous change des baselines…
Merci d’être passé de l’autre côté du miroir pour y laisser tes encouragements…
Bonnes vacances Laurent !
—
Reste zen !
Jef