Je lis entre tes lignes
Les maux que tu déposes
Et tout porte la guigne
Quand le sombre s’impose

J’entends les grands silences
Où tes rires se voilent
Tu vis de rêves rances
Quand tes peurs se dévoilent

Je vois l’aube en ton âme
Et je meurs en tes yeux
Toi qui sais tous les drames
Des destins belliqueux

Quand tu dors contre moi
Apaisée et sans peur
Je sais qu’il est des joies
Qui fleurissent les cœurs

Si au creux de nos mains
Nous tenons l’infini
Nous prendrons les chemins
Que l’aurore bénit

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4 commentaires

  1. Merci de me laisser trace de ton passage ! J’apprécie tes mots Mia !

  2. L’aube on la voit aussi entre les lignes d’un poeme écrit par une âme sublime.
    Je suis pasée te souhaiter un bon week-end Jef
    Amicalement, Mia

  4. Merci Milla, cela faisait longtemps que je ne t’avais lu !

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