La nuit parfois je rêve à tes yeux-univers
Où deux astres brillants envoûtent le ciel
Et apportent l’espoir aux funestes hivers
Ô toi qui ne dis rien, ô toi mon essentiel

Quand ta bouche s’emplit de soupirs diluviens
Des saisons pourraient naître et mourir aussitôt
Dans ces lacs où la glace emprisonne le bien
Qui irrigue le cœur assoiffé d’idéaux

Tu es ce que tu es, sans passé, sans destin
Tu ne sais plus le Temps mais tes lignes de vie
Disent tous les chemins qui sillonnent mes mains
Qu’autrefois je prenais, que tu as poursuivis

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