Et dans ma nudité je contemplai mon âme
Que viennent les jours noirs, que viennent les nuits blanches
Les silences engendrent tant de nouveaux voyages
Qui font naître des mondes où j’esquisse les trames
De la vie intérieure où la Beauté sans âge
Illumine le cœur quels que soit le présage
Et ravive l’esprit d’une joie infinie
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