Et dans ma nudité je contemplai mon âme
Que viennent les jours noirs, que viennent les nuits blanches
Les silences engendrent tant de nouveaux voyages
Qui font naître des mondes où j’esquisse les trames
De la vie intérieure où la Beauté sans âge
Illumine le cœur quels que soit le présage
Et ravive l’esprit d’une joie infinie
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Ivresse
À ces mots qui reviennent s’abreuver dans nos verres D’alcool qui enlèvent au mystère son voile Muses psychédéliques accrochées à la brume Enrobent des îles de vapeurs d’agrumes Des voix s’égarent là et en toute paresse Soulignent l’horizon qui guette leur ivresse
Contemplation…
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Lettre à la femme qui pleure
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